Six courses se sont déroulées hier soir sur l’hippodrome cagnois. Voici les belles notes de cette réunion.
Justin Wood : crédit photo Paris Turf
C2 PRIX DE LA PROMENADE DE PLAGE
La lauréate Kuala Lumpur a laissé une belle impression lors de cette course réservée aux pouliches. Alors que toutes ses concurrentes sont sollicitées dans la ligne droite, cette inédite entraînée et drivée par Nicolas Ensch s’impose facilement sans forcer. Au moment de rentrer aux balances, elle faisait encore les bras de son driver, elle semblait n’avoir pas tout donné. Autre belle note dans cette épreuve, Kourouka Blue. Après un départ au petit galop et s’être vite retrouvée à l’arrière du peloton, la pensionnaire de Kévyn Thonnerieux a réussi à recoller au wagon de tête dans le dernier tournant. De nouveau fautive dans la ligne droite, elle a été disqualifié mais elle avait bien fini troisième.
C3 PX DE LA FEDERATION DES COMMERCANTS
Justin Wood avec de la marge. Après être parti à son train, le cheval drivé par Christophe Martens se retrouve au milieu du peloton et décide de se rapprocher après un tour pour prendre la tête. Dans le dernier tournant, le pensionnaire de Vincent Martens place une accélération dévastatrice qui laisse tout le monde sur place et qui permet à ce fils de Love You d’enregistrer un cinquième succès consécutif.
À la 2e place, on retrouve Jaguar Spirit qui, après un bon départ, se retrouve loin de la tête a cause des relais, mais finit de plaisante manière à la corde.
C4 PRIX DU CHATEAU GRIMALDI
Jasonia Danica avec de la manière. Rapidement installée en tête de course, la jument drivée par Bryan Coppens se fait rejoindre par Jakarta du Levant qui devient l’animatrice de l’épreuve. Au début de la ligne droite c’est Juve d’Heripre qui mène les hostilités avec derrière elle la jument entraînée Pierre Vercruysse. Cette dernière voit devant elle l’élève de Nicolas Ensch se mettre à la faute, ce qui lui laisse le champ libre pour aller s’imposer. À noter que Jasonia Danica refaisait du terrain sur Juve d’Heripre avant que cette dernière ne se mette au galop. Il semblait Bryan Coppens n’avait pas encore demandé à sa pouliche d’accélérer. Ce qui laisse présager une grande marge de progression.
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